• L'appel de la forêt

    L'appel de la forêtSon auteur: Jack London

    Paru en: 2002

    Editeur et collection: Hachette Jeunesse / Classiques collège 

    Illustrateur : Henri Galeron

    Traducteur : Jean Muray

    Son petit résumé: 

    C'est l'histoire d'un chien, Buck, croisé d'un Saint Bernard et d'un Berger Ecossais, vivant dans la maison du juge Miller en Californie à la fin du XIXème siècle. Buck était assez imposant, il pesait soixante-dix kilos. Il était aussi très digne car on s'occupait très bien de lui. Le juge Miller avait beaucoup de chiens mais Buck était le préféré. Une nuit, Buck fut enlevé et prit plusieurs trains pour aller dans un camp d'entraînement pour être chien de traîneau. Il fut très vite revendu pour aller dans le nord. Buck traversa plusieurs fois le Grand Nord et changea plusieurs fois de maîtres. Buck se fit attaquer par des loups. Il se battit aussi contre d'autres chiens de traîneau. Il était de plus en plus fort. Un jour, un homme sauva Buck de la noyade. Buck découvrit l'amour pour son maître. Mais quand il entendit pour la première fois "l'appel de la forêt", Buck ressentit l'envie de redevenir sauvage. Résistera-t-il à cet appel ?

    Comment est l'auteur: 

    Jack London est né en 1876 à San Francisco (USA). Il quitta ses parents et il fit plein de métiers pour gagner sa vie. Sans faire d'études, Jack London réussit à rentrer à l'Université. Il a donc pu faire écrivain. Voici quelques livres qu'il a écrits :

    - Fils du loup en 1900

    - Croc-Blanc en 1906

    Mon avis: 

    J'ai bien aimé ce livre car Buck est un chien de traîneau à qui il arrive beaucoup d'aventures. De plus en lisant ce livre on peut ressentir ce que Buck ressent.

    Pourquoi j'ai choisi ce livre: 

    J'ai choisi ce livre parce que je l'ai eu en cadeau à la fin de mon CM2.

    Un passage que j'ai bien aimé: 

    " Bien qu'il crevât de faim, il n'aurait pas bougé d'un millimètre pour recevoir sa ration de poisson. François devait la lui apporter. Chaque soir, après le dîner, il lui massait les pattes. Il alla même jusqu'à lui confectionner quatre petits mocassins avec le dessus des siens. Pour Buck, ce fut un grand soulagement. Un matin, à l'instant du départ, Perrault, en le regardant, ne put s'empêcher de sourire - ce qui plissa de mille rides son maigre visage. En effet, couché sur le dos, Buck agitait ses pattes et refusait de se lever. François avait oublié de lui mettre ses mocassins."

    J'aime bien ce passage car on voit que Buck est très capricieux et quand il secoue ses pattes pour réclamer ses mocassins, on dirait que c'est un humain.

     Mon conseil: 

    Aux amoureux des chiens ou à ceux qui aiment l'aventure au coeur de paysages magnifiques, vous allez beaucoup aimé ce livre qui va vous émouvoir...

     


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